vélo à assistance électrique ELECTRON

L’ELECTRON est le VAE (vélo à assistance électrique) à vocation urbaine conçu par RIDGEBACK. Ses deux atouts sont la cohérence générale de sa conception et son système de moteur-batterie SHIMANO-STEPS.

Ce dernier est pour nous, le plus abouti des systèmes d’assistance électrique dédié au vélo. A souligner par rapport au modèle précédent, la fluidité générale et la gestion du passage des vitesses.

L’ELECTRON à clairement été construit autour de ce système, pour un comportement totalement fluide et facile pour son utilisateur. L’ensemble des composants est à niveau pour faire de ce VAE une véritable alternative aux deux-roues motorisés ou la voiture .

L’ELECTRON existe soit avec une transmission 8 vitesses intégrée NEXUS soit en version DI2 qui gère le passage des vitesses à votre place : Bluffant!

Tarifs et disponibilité : nous consulter.

Adventure Double Shot

L’Adventure Double-shot est la version classique d’un « CAFE RACER », en acier à raccord à l’ancienne avec de belles finitions pour un tarif, 569€, très compétitif. Son atout? un look de singlespeed qui cache en réalité un Shimano Nexus 3 vitesses à l’intérieur du moyeux arrière. Un vrai coup de coeur qui mériterait d’être accessoirisé avec des garde-boues Vélo orange par exemple ou bien encore un porte paquets.

Causerie bikepacking, bonus – L’initiation

Trois causeries autour de l’idée du bikepacking, de ses pratiques et de ses dérivés: quoi prendre? où aller ? combien de kilomètres rouler, pour combien de temps ? l’essentiel, l’indispensable

De la théorie à la pratique

La théorie, c’est bien beau mais le vrai moyen de répondre à toutes les questions, c’est avant tout la pratique. On vous a donc proposé de vous joindre à nous, sur le terrain . La trace, les options de de distance, de couchage, on vous les offrait. A vous de saisir ces opportunités et de tester les éléments de réponse glanés lors des Causeries. Dans ce climat de confiance, la tâche devient plus aisée, mais pas plus facile pour autant. Il s’agissait tout de même de plus de 400 km, deux fois 200 km en deux jours de suite ; et d’une nuit au beau milieu d’une clairière. Certains ont déclaré ne pas avoir le niveau mais Il n’y à pas de niveau. Pas de force en tout cas. En revanche, notre petit groupe a 20/20 en audace, courage et folie.

Des kilomètres et une nuit à la belle étoile

On a réuni une petite quinzaine de ces cyclistes radieusement enragés, un chiffre qui s’est révélé fluctuant, chacun composant avec son planning et ses envies. On vous avait laissé des gares sur le passage, à l’aller, au retour, des chambres d’hôtels… avec comme clé, l’adaptabilité. En fonction des jambes et du mental, on compose, sans contraintes.

On a été plus d’une dizaine à effectuer encore, après un magnifique diner en terrasse, des kilomètres dans la nuit. Lampes validées, puis éteintes, on s’est endormi à la belle étoile, derrière une église. Couchages éprouvants, avec les bruits de la nuit ou plutôt le silence interrompu par le clocher toutes les demi-heures. Sans parler des ronflements de certains et de la rosée qui ressemble à une averse !

Grâce à vous…

J’ai cependant trouvé tout le monde suffisamment frais au matin, pour aller dévaliser la première boulangerie ouverte et rouler encore. On a vécu ensemble un lever de soleil grandiose et un avant-goût de #ZBTR2018, entre lignes droites et vent de face ! A Chartres, on a retrouvé au hasard des belles routes, celles des Classics Challenge très empruntées, des amis de la boutique. Et les derniers kilomètres, avec la fatigue accumulées et la chaleur de ce week-end estival qui s’amenuisait, se sont roulés en peloton soudé.

De la chance

Cela peut sembler incroyable, mais ces dernières bornes étaient les plus faciles, alors qu’on se rendait compte de la chance qu’on avait eu de vous rassembler. Cette chance qu’on avait provoquée mais qu’il vous fallait saisir pour la concrétiser. Merci Séb, Valérie, Elytsa, Daniel, PO, Pierre, Farid, Christophe, Danilo, Nicolas P., Nicolas M., Xavier !

Causerie bikepacking, 3/3

Entrée, Plat, Dessert!

Comme toute bonne chose a une fin, cette troisième causerie bikepacking fût la cerise sur le McDo.

Vous l’aurez compris, cette causerie a abordé la nutrition, mais aussi le sommeil, la préparation de cartes et le « comment ne pas se perdre (#GPS) »

Le souci du détail

C’est ce qu’on aime dans les causeries. Notre discipline nous demande de porter  un intérêt particulier à l’exactitude des choses. Qu’il s’agisse des nombreux dilemmes matériels auxquels nous faisons face très souvent , quand il s’agit de notre sécurité et de notre santé, c’est ici que les trucs et astuces prennent tout leur sens et deviennent de grandes sources d’intérêt !

Parmi les nombreux outils de cartographie (nous avons retenu et beaucoup parlé de Ride With GPS et de Strava), tout le monde s’accorde sur le fait que plus on passe de temps à préparer notre carte (qu’elle soit fournie ou non), plus on se sent confiant et préparé mentalement.
Grace aux fonctions de repérage facilitées par Ride With GPS par exemple, l’ajout de points d’intérêt et la découverte des routes grâce à Google Street View en devient un jeu d’enfant.

Stanley à la technique

Petite parenthèse sur les outils de cartographie, avec la liste de certains outils plutôt puissants qui répondent à de nombreux problèmes de formats ou d’erreurs, quand on est un geek de la data et que le « quantified self » n’a plus de secret pour vous:

GPS Visualizer : http://www.gpsvisualizer.com
Très utile pour convertir des fichiers , Possibilité de comparer des traces

TCXTools : http://tcxtools.com/
Outils de manipulation de fichiers TCX

DC Rainmaker : https://www.dcrainmaker.com/tools
Comparaison de fichiers FIT (fichiers résultant des enregistrements de rides) et autres outils.

La grande bouffe

Les premières causeries (1, 2) ont soulevé également beaucoup de questions par rapport à la nutrition et la gestion du sommeil. Yoann a dû sortir son meilleur jeu d’acteur pour ne pas être soporifique sur un sujet aussi technique.
Résumons simplement qu’en voyageant, si on ne veut pas perdre trop de temps à attendre au restaurant, il vaut mieux se débrouiller à emmagasiner un maximum de calories dans ses sacoches, surtout si nous allons au-devant d’une zone déserte ou d’une longue nuit de roulage. Tout ce repérage et ce planning ayant eu lieu en prenant en compte l’aspect alimentation, et en se demandant : « où vais-je manger? où vais-je pouvoir dormir ? ».

Manger les bonnes choses au bon moment vous permettra d’être efficace dans votre alimentation.
Par exemple, l’apport en protéines est bien plus opportun immédiatement après l’effort pour faciliter la reconstruction musculaire (+ de détails).
Egalement car le sucre est la principale source d’énergie pendant l’effort, il peut être intéressant de varier le mode de consommation (solide / liquide) et les différents types de sucre en fonction de leur index glycémique. (détails dans les diapositives de la présentation à la fin de l’article)
Mais Stéphane, l’un des habitués des causeries, nous rappelle qu’après tout, il était capable de s’enfiler 2 glaces magnum toutes les deux heures lors de la Indian Pacific Wheel Race !

Le cadrage parfait

Avec un casting solide autour de la cantine, on a pu appliquer les bonnes règles de l’hydratation (à l’exception près de troquer les boissons d’effort contre du houblon) et les conseils ont continué à fuser.

De la théorie à la pratique

Après avoir rassuré les curieux et galvanisé les baroudeurs, la série des causeries n’est pas finie !
Nous avons enchainé une sortie bikepacking lors du dernier week-end du 5 et 6 Mai 2018, histoire que chacun puisse mettre en application tout ce dont on a pu discuter.

May the force (4th) be with you

Un dernier sujet dont nous avons pu commencer à parler fut celui du mental, particulièrement sur les évènements abordés dans une optique de performance et de classement. Bien que le sujet fut récurrent, il serait bon de se retrouver sur ce sujet !

Maintenant faites défiler ces slides comme un générique de star-wars !

La présentation en suivant ce lien

L’Osymétric Monoplateau, ou la quadrature du cercle, disponible à l’échappée belle

Avez-vous déjà essayé de fermer une porte en faisant pression sur son montant coté charnières plutôt que sur sa poignée ? Elle devient impossible à fermer sans accroitre considérablement la force que vous devez appliquer pour qu’elle puisse se fermer! C’est un des nombreux exemples de « l’effet de levier ».

Quel rapport avec le vélo ?

Lors du pédalage avec une transmission classique, au moment ou vos jambes sont alignées avec le tube de selle, elle se retrouvent dans la même situation que votre main tentant de fermer la porte côté charnières : Elles peinent.

La solution ? réduire la courbure du plateau pour redonner de l’effet de levier et l’augmenter la ou les jambes sont les plus à l’aise (à l’horizontale) ! C’est sur cette base que de nombreux concepts de plateaux faussement appelés « plateaux ovales» ont vu le jour tout au long de l’histoire du vélo sans convaincre pour autant dans le sens où 99% des vélos sont toujours livrés en plateaux ronds

Aux réticences, souvent liées à une forme de conservatisme, vient s’ajouter la difficulté de passer du constat « scientifique » à la solution efficiente :

Chaque denture nécessite une forme spécifique et l’ensemble de la denture doit être répartie par moitié à chaque jambe. Si une marque propose un nombre de dents impair par exemple, c’est que mathématiquement la forme du plateau proposée n’est pas optimale.

A l’échappée belle cela fait environ 60 000 kilomètres que nous testons des plateaux ovoïdes dont la moitié avec les plateaux Osymetric. Quelles que soient nos pratiques, route, gravel,  sorties à hautes intensité et les ultra-distances, notre conclusion est catégorique : seul le plateau Osymétric à résolu la quadrature du cercle !

Les effets : plus de puissance, plus d’efficacité, plus de récupération, la disparition des crampes et des genoux enfin préservés. Physiologiquement, une musculature des jambes rééquilibrée et plus de souplesse.

Pour la petite histoire. A la fin de l’été 2017 nous avons contacté Jean-Louis TALO (le concepteur d’Osymetric) pour l’exhorter à combler un des rares manques des plateaux Osymetric :  les rendre disponible en monoplateau pour Gravel (ou Route monoplateau) !

Depuis fin avril, nos vœux sont exhaussés et nous sommes trois à l’échappée belle à avoir cumulé plus de 1000 km de tests dans les conditions Route , Gravel et Vélotaf. Notre conclusion : nous avons enfin à notre disposition la transmission Gravel ideale !

En plus de tous les atouts ressentis sur route, l’effet de régulation de couple augmente sensiblement la motricité sur terrain instable.

Le monoplateau Osymetric est disponible à la vente à L’échappée belle en configuration 5 branches 110mm en 42, 44 et 46 dents immédiatement au prix de 149€.

Vous n’êtes pas encore convaincus ? Nous comprenons. Comme vous, nous avons dû tester pour être totalement convaincus des gains de L’Osymetric.

C’est pourquoi nous vous proposons « en exclusivité » d’ essayer l’Osymetric monoplateau avant d’investir. Nous vous proposons son essai sur votre vélo monoplateau pendant une semaine pour 20 euros seulement, montage compris. Si au terme de l’essai vous souhaitez l’acheter, cette somme sera déduite de votre achat!

Alors n’attendez plus, contactez-nous au 01 71 04 78 30 ou à contact@lechappeebelle.bike!